Nos missions

La maladie de Parkinson touche 6,5 millions de personnes dans le monde, dont 175 000 en France. 

Mohamed Jaber est professeur en neurosciences, directeur de l'unité 1084 INSERM de l'université de Poitiers, et ancien président du comité d'experts “Parkinson” de la Fondation de France.

Avec un nombre de malades en augmentation, la maladie de Parkinson fait désormais l'objet de nombreuses pistes de recherche. La Fondation de France accompagne différentes équipes avec une seule volonté : trouver des réponses pour soulager les malades.

Le Centre de Recherche en Cancérologie de Toulouse mène des travaux sur les phénomènes de résistance aux traitements dans certains cancers pédiatriques. Fabienne Meggetto, directrice de recherche, et son équipe présentent la génèse et les enjeux de ce projet soutenu par la Fondation de France.

Entraide, partage et résilience : ce sont les 3 maîtres-mots utilisés par Sandrine Dugast pour décrire son association « Kocoon Ensemble Autrement ». Basée à Mouilleron le Captif en Vendée, Kocoon accompagne depuis 4 ans des femmes atteintes d’un cancer à qui elle offre des moments de convivialité, de partage et d’écoute bienveillante.

Charlène Thiebaut souhaitait apporter sa pierre à l'édifice des grands progrès scientifiques, alors elle en a fait son métier. Découvrez le portrait de la chercheuse post-doctorante au centre en Cancérologie de Lyon.

A Marseille, les enfants atteints de cancer reprennent des forces et s’évadent grâce à des activités sportives et ludo-éducatives proposées au Phare des Sourires.

À l’occasion de la Journée internationale du cancer de l’enfant, focus sur les recherches menées par le Dr Celio Pouponnot et son équipe pour soigner des tumeurs cérébrales particulièrement agressives chez les tout-petits.

Dans le cadre d’une interview inédite, Patricia Santofimia Castaño, chercheuse à l’INSERM au CRCM (Centre de recherche en cancérologie de Marseille), nous parle de ses recherches sur le cancer du pancréas.

Le cancer de l’ovaire est un cancer très agressif.  Seule une patiente sur quatre sera en vie cinq ans après l’annonce du diagnostic et il représente la 4^e cause de décès par cancer chez la femme.