Comment agir durablement dans le champ des solidarités internationales ? En accompagnant localement l’émergence et la structuration d’un tissu d’acteurs de la société civile.
Selon l’Organisation mondiale de la santé, une personne sur quatre souffre, à un moment de sa vie, d’un trouble « psychologique » sérieux (dépression, addiction, anxiété, épisodes psychotiques…).
Dans le Briançonnais, les associations mobilisées pour l’assistance aux migrants tirent régulièrement la sonnette d’alarme. Le nombre de personnes, de familles avec enfants, traversant la frontière italienne dans des conditions dramatiques, dépasse régulièrement leurs capacités d’accueil.
En France, où 80 % de la population habite en ville, 4 enfants sur 10 ne jouent jamais dehors en semaine, les cours d'école sont goudronnées et les sorties ou classes vertes de plus en plus rares, de plus en plus courtes.
La grande précarité touche aujourd’hui, selon les estimations de la Fondation Abbé Pierre, plus de 300 000 personnes en France. Et parmi elles, de plus en plus de jeunes : 16% de ceux qui appellent le 115 (numéro dédié aux SDF), ont moins de 25 ans.
À Marseille, métropole marquée par de très fortes inégalités entre quartiers, la crise de la Covid-19 a fait apparaître des situations d’extrême précarité, des urgences de type humanitaire.
La dévitalisation progressive des territoires ruraux n’est pas une fatalité, c’est la conviction qui guide l’association Tera. Depuis 2015, celle-ci expérimente un projet de développement local alternatif, dans le Lot-et-Garonne, soutenu par le programme Inventer Demain.
Le numérique transforme radicalement notre monde : le travail, la ville, les relations sociales et humaines… et sa généralisation est vécue à la fois comme une chance et comme une menace (pour l’emploi, pour les libertés, pour l’environnement…).