Nos missions

État des lieux de la philanthropie française
C'est une période prometteuse pour la philanthropie en France mais le secteur n'a pas encore trouvé son équilibre.

« Plus que jamais votre générosité est utile ! »
Tous les acteurs de la philanthropie le constatent : face aux incertitudes en matière de fiscalité, les dons aux associations et fondations ont diminué en 2018. Ce qui aura un impact sur le nombre d’actions et de projets mis en œuvre. Le point avec Dominique Lemaistre, directrice du mécénat.

Vers un troisième âge de l’engagement ?
Dans une société traditionnelle, on est engagé plus qu’on ne s’engage : engagé à servir un prince, engagé par un système de valeurs qui s’impose, comme une sorte de surplomb qui vous précède et sur lequel on a peu de prises.

L’École de la philanthropie : la rentrée des philanthropes en herbe
Philanthro-quoi ? Pour un enfant, la philanthropie peut paraître un gros mot. Et pourtant. Lorsque l’École de la philanthropie intervient dans les classes ou pendant les temps périscolaires, les enfants se transforment vite en philanthropes convaincus.

Tisser des liens solidaires : une nécessaire réciprocité
Serge Paugam revient ici sur le besoin de liens inhérent à tout individu, mais aussi sur la nature de ces liens qui, pour être libérateurs, doivent être réciproques.

La joie du don
Le goût des autres, l’envie d’aider, la compassion naissent sans doute dès l’enfance, à travers le vécu de nos proches. Je me souviens à quel point mes parents attachaient de l’importance à soutenir financièrement un grand nombre d’associations humanitaires

« On ne peut penser le réchauffement climatique sans penser la question des inégalités sociales »
L’engagement, je suis tombée dedans quand j’étais petite. Je suis née en Martinique en 1972, dans une famille composée de personnalités marquantes. Mes grands-parents tenaient beaucoup à ce que leurs enfants aient un sort plus enviable que le leur.

La stabilité fiscale, indispensable aux actions de long terme
La générosité des Français progresse. Si chaque donateur a des motivations qui lui sont propres, nous sommes d’autant plus généreux que nous effectuons ce geste dans un cadre fiscal encourageant.

Le droit à la beauté pour tous
Lorsque j’ai débuté la danse à 6 ans, j’ai immédiatement annoncé à ma mère que je voulais devenir danseuse. Après le bac, je suis montée à Paris et de façon un peu stakhanoviste, j’ai pris tous les cours de danse possibles.

Mon chemin vers la philanthropie, une histoire d’amour…
Il y a bientôt dix ans, alors que je rencontrais un joli succès dans ma carrière en naviguant entre les plateaux de télévision en France et à l’international, j’ai eu une double révélation