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Développer la philanthropie

  

« Comment le numérique transforme-t-il la philanthropie ? » : c’était le sujet du débat organisé le 2 octobre 2018, par la Fondation de France, Facebook France et la banque privée Lombard Odier. Quels progrès ? Quels risques ? Regards croisés sur une révolution… tous azimuts.

Dans une société traditionnelle, on est engagé plus qu’on ne s’engage : engagé à servir un prince, engagé par un système de valeurs qui s’impose, comme une sorte de surplomb qui vous précède et sur lequel on a peu de prises.

Philanthro-quoi ? Pour un enfant, la philanthropie peut paraître un gros mot. Et pourtant. Lorsque l’École de la philanthropie intervient dans les classes ou pendant les temps périscolaires, les enfants se transforment vite en philanthropes convaincus. 

Contrariées, voire un temps délaissées,  les vraies passions finissent toujours par renaître. La preuve avec François-Marc Durand qui fut inscrit, comme beaucoup d’enfants, aux traditionnels cours de piano du conservatoire.

Il y a toujours une histoire personnelle derrière un projet, une ambition, une utopie. La preuve une fois encore avec Lila Bidaud dont l’enfance a déterminé les engagements. 

Les organisations de soutien à la philanthropie ont un rôle essentiel à jouer : garantir que les technologies de rupture conduiront à une évolution positive.

La philanthropie est un phénomène universel et actuellement en plein essor sur la planète. Elle prend cependant des formes très diverses dans les aires culturelles où elle s’enracine. 

De culture anglo-saxonne – ma mère est canadienne et j’ai vécu aux États-Unis –, j’ai toujours donné : à l’été 2017, après avoir cédé la société technologique que je dirigeais, j’ai eu envie d’aller plus loin, d’œuvrer autrement pour une cause qui m’est chère : combattre les inégalités hommes-femmes. 

Autrefois considérées comme des contraintes, les actions menées au titre de la responsabilité sociétale des entreprises (RSE) se multiplient et concourent aux intérêts économiques des entreprises.

Serge Paugam revient ici sur le besoin de liens inhérent à tout individu, mais aussi sur la nature de ces liens qui, pour être libérateurs, doivent être réciproques.