Développer la philanthropie

Chef d’entreprise à Montreuil et père de cinq enfants, Nicolas Ségal a créé en 2016 la Fondation Avenir d’Enfance pour sortir les jeunes de banlieue de l’enfermement qu’ils vivent dans les cités. Récit d’un engagement aussi concret qu’efficace.

Il y a tout juste un an, la Fondation de France créait son fonds à impact social et environnemental, France2i. Où en sommes-nous aujourd’hui ? En un an, le gérant du fonds a reçu et analysé plus de 350 dossiers, réalisé 70 rendez-vous avec des entrepreneurs, et finalisé l’investissement dans huit structures.

Après avoir créé plusieurs associations, Patrick Gavoty a décidé, avec son épouse, de créer la Fondation Maintenant pour donner davantage de cohérence à ces projets. Il nous décrit ce pas de plus dans son engagement.

Face à la crise du Covid-19, la mobilisation des philanthropes a été exemplaire. Selon Benjamin Bellegy, directeur général du Worldwide Networks for Grantmaker Support (WINGS), elle le serait encore davantage si le secteur pouvait s’appuyer partout sur des réseaux robustes susceptibles de faire entendre leurs voix et d’en fédérer les acteurs.

Le président de la Fondation Eau, neige et glace est chirurgien-dentiste à Annecy. Mais il s’en est fallu d’un rien pour que Serge Martinot ne choisisse de devenir explorateur et ne parte à l’aventure dans les déserts glacés.

L’an passé, la Fondation de France célébrait le premier demi-siècle de son histoire, qui a forgé son identité de premier réseau philanthropique de notre pays. 

Depuis 50 ans, la Fondation de France accompagne tous ceux qui souhaitent agir pour l’intérêt général. En cette période de crise sanitaire sans précédent, plus que jamais, les actes de solidarité sont nécessaires.

L’année 2019 aura été l’occasion d’illustrer l’esprit, les méthodes, l’expertise et le savoir-faire qui sont le propre de la Fondation de France, et aussi de l’engager résolument vers de nouveaux horizons.

“Malgré l’instabilité des marchés financiers et les incertitudes fiscales, le nombre et l’activité des fondations comme des fonds de dotation continuent de progresser.”

Être à la tête d’un patrimoine, c’est ce que j’appelle le hasard de la vie. Pour moi, je n’en suis pas propriétaire mais simple détentrice. Il est donc normal que ces moyens financiers servent à aider ceux qui n’ont rien.