Portraits de philanthropes

J’ai toujours été entrepreneur dans l’âme, j’aime faire naître des projets. Ma vie professionnelle a été bien remplie, je me suis occupé de plusieurs sociétés que j’ai créées ou reprises, mais ça n’a pas été simple ! 

Né à Beyrouth et français d’adoption, cet ex-entrepreneur a créé en 2012 la Fondation Ghazal pour l’éducation, la recherche et la paix au Liban. Une façon d’œuvrer à une coexistence plus harmonieuse entre les communautés du pays et de participer à sa reconstruction, une mission d’autant plus cruciale après la tragédie du 4 août dernier.

Vivre leur passion à plein temps et en faire leur métier : ce principe guide Cyril et Manon depuis longtemps. Leur passion ? La montagne sous toutes ses formes : des chemins du Beaufortain aux faces nord de Chamonix en passant par des raids à ski à travers les Alpes. 

Chef d’entreprise à Montreuil et père de cinq enfants, Nicolas Ségal a créé en 2016 la Fondation Avenir d’Enfance pour sortir les jeunes de banlieue de l’enfermement qu’ils vivent dans les cités. Récit d’un engagement aussi concret qu’efficace.

Après avoir créé plusieurs associations, Patrick Gavoty a décidé, avec son épouse, de créer la Fondation Maintenant pour donner davantage de cohérence à ces projets. Il nous décrit ce pas de plus dans son engagement.

Le président de la Fondation Eau, neige et glace est chirurgien-dentiste à Annecy. Mais il s’en est fallu d’un rien pour que Serge Martinot ne choisisse de devenir explorateur et ne parte à l’aventure dans les déserts glacés.

Être à la tête d’un patrimoine, c’est ce que j’appelle le hasard de la vie. Pour moi, je n’en suis pas propriétaire mais simple détentrice. Il est donc normal que ces moyens financiers servent à aider ceux qui n’ont rien. 

Cet entrepreneur a créé la Fondation Robin du Bien pour servir de passeur, de trait d’union entre les entreprises désireuses de s’engager dans une démarche altruiste et les associations les plus efficaces, qui agissent concrètement pour aider les jeunes à se former et trouver un emploi.

Pour devenir catalyseurs de changement, Maïa Baudelaire et son mari ont créé la Fondation Maïa Baudelaire : un pas de plus dans leur engagement.

Très investi dans la Fondation Sisley-d’Ornano, créée en 2007 par l’entreprise Sisley qu’il préside, Philippe d’Ornano revient sur les raisons de son engagement et les causes qui lui sont chères.