Accéder au contenu principal
Vous êtes fondateur
Vous êtes donateur
Vous êtes porteur de projet
Vous êtes fondateur
Vous êtes donateur
Vous êtes porteur de projet

test25

2 octobre 2025

Sera accompagné de :

f530

photo_auto_merge

 

A renseigner
Légende à renseigner

 

Entrée de l’esplanade du festival Passeur.ses d’humanité, au bord du lac de Breil-sur-Roya.

Jacques Perreux, président des Ami.es de la Roya, organisateur du festival

« On est dans un monde en pleine évolution avec des enjeux importants : dérèglement climatique, frontières, migrations, justice sociale, crise de la démocratie... Alors pour ne pas perdre espoir, il faut admettre qu’on a une seule planète, qu’on est tous interdépendants et qu’il faut trouver les solutions ensemble. »

Sylvie Vassalo, coorganisatrice du festival

« Notre objectif avec le festival, c’est de réfléchir à la manière dont on pourrait vivre dans une société plus douce, plus juste, plus humaine. Et d’y réfléchir au travers de débats, de concerts, et beaucoup d’autres formes artistiques… Éprouver une autre façon de vivre ensemble. »

Mélanie Fornet, artiste à l’origine de l’œuvre collective À-corps

« Ce qui m’anime, c’est la nature, l’art et l’humain. Lors du festival, j’anime un atelier qui s’appelle A-corps. L’idée, c’est de récolter des photographies de peau des gens en macro et de les réassembler sur une silhouette que j’ai dessinée sur un panneau en bois. Je veux montrer qu’on a besoin de la pluralité et de la diversité pour former un corps commun dans cette société. »

Une musicienne

« Notre monde en est là où il en est car on n’a pas appris à coopérer. On étudie plein de choses à l’école mais on ne nous enseigne pas le faire ensemble. Il faudrait imaginer des cours de coopération, ça nous permettrait de ne plus avoir peur de l’autre. » 

Eloïse Poupard, thérapeute membre de l’association Passerelle

« Au sein de l’association Passerelle, on a appris à coopérer, à œuvrer ensemble en tant que thérapeutes. Alors qu’avant, on accompagnait individuellement les habitants de la vallée, aujourd’hui, on les accompagne en équipe, et tous ensemble, thérapeutes comme Valléens, on a découvert les trésors de la coopération, et qu’elle pouvait faire sortir les gens de la solitude ! »

Petit-déjeuner débat au café des Alpins sur les terroirs, des lieux d’innovation et de coopération où naissent les pratiques de demain.

Jean-Michel Diesnis, membre du collectif des Anciens et futurs anciens de la Roya

« Cette vallée attire beaucoup de gens, de partout, et c’est ça la richesse ! C’est ça qui est passionnant : l’accueil, toutes ces énergies qui se complètent, qui s’enrichissent. »

Un bar à jeux coopératif organisé par l’association Graine de vie. Il offre la possibilité d’essayer plus d’une dizaine de jeux et défis qui font appel à la coopération pour les réussir. 

Charles Claudo, Cofondateur de l’association Remontons la Roya

« On essaie d’associer le plus de structures et de personnes possibles dans un projet parce qu’on s’est aperçu, notamment lors du passage de la tempête Alex, que la coopération était vraiment un levier puissant pour faire les choses. Mais ce n’est pas facile, il y a un vrai travail à faire sur soi car on a tous été formé dans une société basée sur la compétition et la concurrence. »

Arnaud Henry, Chargé de projets au sein de l’association Remontons la Roya

« La coopération, c’est le cœur de Remontons la Roya. L’idée, c’est d’accompagner des porteurs et porteuses de projets et de faire émerger des projets à impact dans la vallée pour participer à un territoire qui soit plus résilient, respectueux à la fois de l’environnement et des êtres humains qui y habitent. »

Lors du concert de Kimia, artiste toulousaine d’origine congolaise, et Julien Decoret, aka Noko, issu de la scène punk-rock.

Edmond Baudouin, auteur et dessinateur de bande dessinée

« Erri De Luca parle de ce que nous vivons en ce moment comme d’un basculement vers des choses très graves. Il dit qu’après viendra le temps de la réparation, et que peut-être, les êtres humains apprendront alors à coopérer pour pouvoir réparer. Je pense également que si nous pouvons éviter ce basculement, ce sera par la coopération. »

Nadia Oum Hand, accompagnante en thérapie, membre de l’association Passerelle

« Je crois à la théorie du colibri : c’est à partir de ma transformation que j’aide la société à se transformer. Et cette transformation commence par une sensibilisation et continue à travers nos gestes, nos comportements, et surtout nos peurs. On doit tous faire un travail personnel pour ne plus avoir peur de l’autre. »