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Bouillonnante, Dominique Aurières

sud-ouest Bénévoles| 23 Jan.2024

Dominique AurieresBénévole de la Fondation de France Sud-Ouest, Dominique Aurières vient de créer une fondation abritée,  « Pluie de roses ». Pour agir  aux côtés des femmes.

C'est au moment où elle a transmis les rênes de l’agence d’événementiel qu’elle avait créée et dirigée avec succès que Dominique Aurières s’est interrogée sur le sens qu’elle voulait donner aux temps à venir. Issue d’une famille d’entrepreneurs où la solidarité a toujours fait partie des valeurs, elle s’était auparavant engagée au sein de l’association Promofemmes  à Bordeaux, sa ville de toujours. Elle a commencé par accompagner des migrantes, en mettant ses compétences et son réseau professionnel au service de la recherche de financements. C’est là qu’elle a croisé la route de la Fondation de France. Depuis, cette communicante d’envergure s’active à faire connaître, au sein de la région Sud-Ouest, l’action de la Fondation.

Dominique Aurières a commencé par étudier la psychologie avant de passer un master de gestion d’entreprise. Ainsi, sans surprise, elle s’intéresse aux entreprises qui s’essaient au mécénat, mais aussi à des recherches plus théoriques autour de la philanthropie. Elle a rassemblé une quinzaine de participantes pour réfléchir à la place des femmes dans la philanthropie, thème peu abordé par la recherche académique. Selon le sexe et le genre, les motivations sont-elles les mêmes ? Les actions menées sont-elles identiques ? Dominique Aurières remarque que l’initiative des dons revient plutôt aux femmes. Elle note aussi que celles-ci ont tendance à s’accommoder plus aisément d’un manque de visibilité. Dominique Aurières va toujours au bout de ses passions. Quand elle s’intéresse à la littérature anglo-américaine, elle fait le voyage à Atlanta et Charleston pour s’imprégner de l’esprit des lieux. Quand cette catholique d’origine s’intéresse au judaïsme, elle apprend l’hébreu moderne et biblique et entame des études en sciences des religions. Et il en est de même pour le yoga, la méditation ou la céramique.

Elle avait envie de continuer à faire vibrer la fibre solidaire de son père qui avait fait prospérer une grosse PME tout en se souciant du bien-être de ses proches comme de ses salariés. Elle songeait depuis longtemps à créer sa fondation, mais pensait que c’était trop difficile, « inaccessible ». Sa rencontre avec la Fondation de France l’a décomplexée sur la question. Sa fondation abritée se consacrera aux femmes vulnérables, par exemple les femmes migrantes, agricultrices dans les campagnes désertées, mais aussi à la scolarisation des filles au Maroc, en Inde.  Le nom choisi « Pluie de roses », qui était celui de son école primaire, renvoie à une citation de Thérèse de Lisieux : « Après ma mort, je ferai tomber sur la terre une pluie de roses ». 

 

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