Portraits de philanthropes
Philanthropes : résolument engagés au service de la société
Les profils et les motivations des philanthropes qui ont créé une fondation abritée à la Fondation de France sont très variés : hommes ou femmes, entrepreneurs, professionnels ou retraités, agissant dans différents champs de l’intérêt général (recherche, éducation, solidarité internationale, grand âge, etc.)…. Mais tous ont un point commun : leur envie d’agir pour transformer durablement la société. Rencontre avec ces philanthropes motivés, résolus et engagés.
![](/templates/yootheme/cache/65/portrait-bruno-roger-65404c04.jpeg)
Bruno Roger, philanthrope « militant culturel »
« Directrice du mécénat du musée du Quai Branly, Martine Aublet a joué un rôle essentiel dans son rayonnement. En avril 2011, elle disparaissait des suites d'un cancer et j’ai souhaité avec l'appui de ce haut-lieu culturel créer une fondation pour honorer sa mémoire, dédiée à sa passion : les sciences humaines » retrace son époux, Bruno Roger.
![](/templates/yootheme/cache/5d/portrait-jean-claude-turri-5d597dd0.jpeg)
Jean-Claude Turri, philanthrope dévoué
« Je n’ai pas choisi de soutenir l’autisme, c’est Chiara qui m’a pris par la main et guidé vers cette cause. Mais il est vrai que j’avais envie de m’engager depuis longtemps, de consacrer mon énergie et mon argent à des actions non rémunérées… »
![](/templates/yootheme/cache/cc/banniere-portrait-marchal_thumbnail-cc07d354.jpeg)
Bernard & Christine Marchal, philanthropes passeurs de sens
« J'ai promis à mon père, sur son lit de mort, de continuer après lui les actions de solidarité qu'il menait en Afrique. Ma femme et moi avons tenu cette promesse ».
![](/templates/yootheme/cache/ce/portrait-gerard-ligier-cea906f5.jpeg)
Gérard Ligier, philanthrope pour les droits humains
S’intéresser au sort des autres, Gérard Ligier cultive cette manière d’être depuis toujours : scout, engagé bénévolement dans plusieurs associations, dont Habitat et Humanisme et Agir Ensemble pour les Droits de l’Homme…
![](/templates/yootheme/cache/52/portrait-gaetan-carnot-5268f1d2.jpeg)
Gaëtan Carnot, philanthrope pour le rayonnement de la France
Héritier d'une longue lignée de personnages d'exception « le grand Carnot » de la Révolution française, le Carnot de la thermodynamique, le Carnot ministre de l'instruction publique, le président de la république, les industriels...
![](/templates/yootheme/cache/73/portrait-quoc-giao-tran-73ce1f13.jpeg)
Quoc-Giao Tran, philanthrope et solidaire
«Il faut donner de soi. L'argent, c'est insuffisant ». A la tête d'un groupe d'investissement, d'aménagement et de promotion - Aigo Group - Quoc-Giao Tran a toujours éprouvé le besoin de s'investir dans l'humanitaire.
![](/templates/yootheme/cache/69/portrait-patricia-jung-singh-690259b4.jpeg)
Patricia Jung-Singh, philanthrope engagée
Sa famille lui a transmis très jeune l'évidence de l'engagement social et l'amour de la nature dans les forêts d'Alsace. Après des études à Sciences Po, Patricia Jung-Singh part dans les campagnes du Malawi puis en Inde, où elle travaille pour la prévention du SIDA et de la tuberculose.
![](/templates/yootheme/cache/f5/portrait-pascal-vinarnic-f567d7a5.jpeg)
Pascal Vinarnic, philanthrope exigeant
« Pour recevoir, il faut d’abord donner ». Une conviction reçue très tôt par Pascal Vinarnic. Mû par l’intuition que les financements traditionnels de l’action sociale sont en train de se tarir alors que les besoins vont croissant, l’entrepreneur crée en 1994 avec plusieurs amis la Fondation Demeter.
![](/templates/yootheme/cache/ff/portrait-pierre-herve-gautier-ff0c37ae.jpeg)
Pierre-Hervé Gautier, philanthrope reconnaissant
Au décès de son parrain en 2006, Pierre-Hervé Gautier décide de créer la Fondation Robert Abdesselam en sa mémoire à partir d’un legs versé à la Fondation de France. D’origine franco-kabile, Robert Abdesselam a été à la fois un grand champion de tennis, un brillant avocat et un député engagé, après une très belle guerre.
![](/templates/yootheme/cache/9e/portrait-daniel-raze-9e5fb17f.jpeg)
Daniel Raze, philanthrope au quotidien
Marqué par l'appel de l'Abbé Pierre en 1954, Daniel Raze s'engage tôt comme chef scout et visiteur de personnes âgées. D'origine modeste, c'est selon lui « une chance de n'avoir hérité de rien, sauf de l'affection ».