Prisons

Le 17 février a été présenté, lors d’une journée d’échanges et de débats sur le thème de l’incarcération, le rapport « Au dernier barreau de l’échelle sociale : la prison ». Cette étude met en évidence l’existence d’une spirale infernale pauvreté-prison.

Comment accompagner les détenus pour leur permettre de se réinsérer dans la société ? et éviter ainsi la récidive ? Depuis 2013, la Fondation de France se mobilise sur ces questions pour proposer un accompagnement global aux personnes détenues.

À l’occasion des Journées nationales de la prison, retour sur le séminaire organisé par le programme Prisons de la Fondation de France, qui a réuni des porteurs de projets les 7 et 8 octobre à la Halle Pajol à Paris. 

Dans le cadre de la crise Covid-19, le programme Prison s’est mobilisé pour soutenir les associations qui accompagnent les sortants et qui aménagent leurs projets face aux impératifs sanitaires.

Comment retrouver une place dans la société, dans le monde du travail, dans sa famille après la détention ? La Fondation de France et les fondations qu’elle abrite s’engagent pour apporter des réponses concrètes.

En France, entre 70 000 et 140 000 enfants et jeunes sont confrontés à l'incarcération d'un de leurs parents. Le projet d'Enjeux d'Enfants est d'être à l'écoute et au service de ces enfants, pour les aider à exprimer leurs émotions.

Explorer les relations entre la prison, la société et l’art : c’est le propos de l’opération Prison miroir, un événement qui se déploie sur plusieurs mois, portée par La Friche la Belle de Mai en complicité avec le laboratoire de recherche cinématographique, Lieux Fictifs.

La Fondation Demeter a été créée en 1994 avec un groupe d’entrepreneurs. La démarche de son fondateur Pascal Vinarnic : soutenir des initiatives pilotes, les pérenniser par une véritable autonomie financière, puis promouvoir leur généralisation.

Au centre pénitentiaire de Rennes, des détenues en longue peine réalisent avec l’aide de graphistes et de journalistes indépendants un magazine féminin pas tout à fait comme les autres. 

Ils sont huit détenus de la prison de Meaux-Chauconin en Seine-et-Marne, condamnés à de longues peines pour faits de violence. Tous ont des parcours de vie cahotiques, l’expérience de l’enfermement et de la promiscuité, un « statut » de caïd qui devient leur identité.