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Nos missions

  

Vieillissement de la population, prévalence du cancer, développement des maladies chroniques, impact des modes de vie sur la santé… les défis posés par le monde moderne à la recherche médicale sont immenses. 

Le Collège de France a accueilli le Premier ministre et le Secrétaire d’état à l’Enseignement supérieur et à la recherche lors d'une présentation du programme PAUSE - qui favorise et soutient l’accueil des scientifiques et intellectuels incapables d'exercer dans leur pays.

Chaque année la Fondation de France finance à hauteur de 8,5 millions d’euros des projets de recherche médicale. Les projets sont rigoureusement sélectionnés par près de 100 spécialistes reconnus par leurs pairs, et organisés en 9 comités spécialisés.

Le programme PAUSE, lancé le 16 janvier dernier par M. Thierry Mandon, Secrétaire d’état à l’Enseignement supérieur et à la recherche et piloté par le Collège de France, avec le soutien du Rectorat et de la Mairie de Paris, a pour but de favoriser et soutenir l’accueil des scientifiques et intellectuels en provenance de pays où la situation politique ne leur permet plus d’exercer leur métier et met leur vie et celle de leur famille en danger.

C’est une étude de 2002 conduite aux États-Unis qui a mis le feu aux poudres. Cette année-là, la publication de la Women’s Health Initiative (WHI), affirme que le traitement par les œstrogènes donnés aux femmes après la ménopause favorise non seulement les cancers du sein mais aussi l’infarctus du myocarde, qu’ils étaient censés prévenir.

Le 2 février 2017, au Collège de France, La Fondation de France et 11 de ses fondations sous égide ont remis 20 prix qui récompensent le travail d’équipes de recherche fondamentale et appliquée, dans des domaines très divers.

En France, les maladies cardiovasculaires sont la deuxième cause de mortalité après les cancers, avec environ 150 000 décès par an. Elle constituent aussi la première cause de mortalité chez les femmes. À travers son programme Maladies Cardiovasculaires, la Fondation de France soutient une approche multidisciplinaire unique en France. Son objectif : mieux comprendre l’impact de nos modes de vie sur cette maladie pour améliorer la prévention et la prise en charge thérapeutique.

La très grande majorité des maladies cardiovasculaires sont liées à l’athérosclérose, c’est-à-dire à l’apparition de dépôts graisseux sur les parois des artères sanguines qui peuvent entraîner des infarctus ou des AVC (accident vasculaires cérébraux), entre autres.

Depuis 2013, Lydie Boury est présidente de l’association Les Petits Poids, basée à Amiens. Cette structure se bat pour faire de l’obésité, facteur mal connu de risques de maladies cardiovasculaires, une vraie question de santé et de société. 

Les maladies cardiovasculaires, en constante augmentation du fait de nos modes de vie, constituent un problème de santé publique majeur.