Créée en juin 2020, la Fondation setec s’engage à accompagner des projets visant des enjeux phares de la transition environnementale : lutte contre le dérèglement climatique, préservation de la biodiversité et protection des océans.

Consciente des forts enjeux sociaux et sociétaux associés à la transition environnementale, elle fait de la lutte contre la pauvreté (précarité énergétique, accès aux ressources, éducation, …) un corolaire indispensable de son action. De même, elle est enclin à accompagner des actions culturelles, d’interrogations sociétales, sur ces sujets. Pour renforcer l’impact de son action, la Fondation setec a fait le choix de privilégier une thématique par an parmi les cinq précitées et de soutenir jusqu’à quatre projets. Si possible, un de ces projets est porté par une structure étudiante, étant entendu que l’ensemble des structures soutenues est sans enrichissement propre (associations, ONG, coopératives etc.).

Insertion, formation, éducation, la Fondation setec est sensible à la vocation sociale des projets. En complément du financement proposé par la Fondation setec, les projets peuvent bénéficier de l’implication des salariés du groupe setec via le mécénat de compétences de ses filiales. Pour cela, elle soutient des projets situés à proximité des implantations des filiales.

 

Contact :

Marie Hommeau
Animatrice de la Fondation setec
06 66 43 01 42
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Sous l’égide de la Fondation de France, la Fondation RSM France est née de la volonté de transmettre le goût du partage et de la transmission.

C’est en soutenant des projets qui luttent contre les barrières à l’entrée du marché du travail pour les personnes fragiles que la fondation souhaite agir.

Changer de regard sur les différences pour créer des opportunités et que chacun puisse faire de vrais choix de vie et accéder plus facilement à l'autonomie.

En s’appuyant sur les collaborateurs de RSM qui accompagnent aussi en compétences les projets soutenus par la Fondation, la Fondation RSM France s’engage dans la lutte contre les inégalités et contribue à un écosystème plus solidaire tout en faisant évoluer les mentalités et les comportements.

Montmartre, berceau de la vie artistique parisienne au début du vingtième siècle

Adosser une fondation à une institution culturelle telle qu’un musée permet de mettre en œuvre de nouveaux projets, en complétant les ressources financières disponibles grâce à l’implication de mécènes individuels ou d’entreprises. C’est cette démarche qui a motivé la création en 2013 sous l’égide de la Fondation de France de la Fondation pour le rayonnement du Musée de Montmartre, à l’occasion d’importants travaux de rénovation et d’extension du Musée, qui ont ainsi pu bénéficier de ce dispositif de mécénat.

Le Musée de Montmartre est situé dans le plus ancien bâtiment de la Butte, la Maison du Bel Air, où de nombreux artistes vécurent et travaillèrent au tournant du 20ème siècle. Aujourd’hui, il témoigne de cet héritage culturel exceptionnel et de l’effervescence de cette époque à travers une collection de plus de deux cents œuvres dont celles d’artistes de renom comme Toulouse-Lautrec ou Modigliani.

La Fondation poursuit l’objectif de rendre le musée plus accessible à différents publics, d’une part en adaptant les lieux aux besoins des personnes à mobilité réduite, et d’autre part en développant des activités pédagogiques pour sensibiliser à l’art les publics éloignés de la culture. Elle soutient également la promotion d’artistes émergents et peut participer à l’organisation d’expositions ainsi qu’à l’enrichissement des collections du musée.

La Fondation Science et Nature est créée sous l’égide de la Fondation de France par les membres d’une entreprise familiale faite de proximité, d’écoute, et d’une volonté tenace de laisser une planète en bonne santé aux générations futures.                             

Sa mission est de comprendre, analyser et utiliser les bienfaits de la Nature grâce à la Science.

Ses convictions :

• La Nature est une source de bienfaits pour la santé et le bien-être.
• La Nature est une philosophie de l’équilibre.
• La Nature est un patrimoine collectif.

Un des premiers projets soutenus par la Fondation Science et Nature consiste à la numérisation de la collection ethnobotanique de l’herbier national du Musée National d’Histoire Naturelle, le plus grand herbier du monde. Un projet emblématique de valorisation de la biodiversité et des savoirs traditionnels par la mise à la portée de tous d’un patrimoine mondial unique.

En parallèle, la Fondation organise régulièrement des appels à projets afin de soutenir des initiatives qui reconnectent l’Homme à la Nature.

 Au Nord du Massif Central, la Chaîne des Puys s’étend sur plus de trente kilomètres et occupe une place majeure dans le patrimoine naturel français : composé de près de quatre-vingt volcans, ce site est exceptionnel à la fois par ses aspects géologiques et paysagers.

Répondant à l’appel du Conseil Général du Puy-de-Dôme, plusieurs entreprises implantées localement ont mobilisé leurs ressources pour mettre en place une fondation abritée par la Fondation de France afin de valoriser et préserver ce site. Véritable outil de participation de la société civile à la gestion durable d’un territoire, la Fondation Chaîne des Puys-Faille de Limagne est née en 2013. 

Ses objectifs : mettre en valeur le site sur le long terme en favorisant un développement local réfléchi et un tourisme responsable, encourager la recherche nationale et internationale et la diffusion des connaissances scientifiques, et contribuer au rayonnement de ce site exceptionnel.

Concrètement, la fondation entend par exemple contribuer à l’aménagement des cheminements sur le site afin d’enrayer l’érosion et à la production de documents de sensibilisation à destination du grand public. Elle peut également verser des bourses de recherche pour financer des travaux en volcanologie et géologie. Autant d’actions qui permettent de créer du lien et développer une gestion concertée et durable d’un territoire d’exception.

La Fondation encourage, à travers le financement de projets portés par des associations de patients, des établissements de santé et des structures de soins, des actions de promotion dans les domaines de la prévention, de l’accès aux soins pour les personnes précaires et les populations fragiles, de la qualité des soins, de l’excellence médicale garantissant le consentement libre et éclairé du patient, ainsi qu’en matière de conditions d’accès aux données personnelles. (principes généraux édictés dans sa charte).

Le parlementaire, ancien ministre et médecin cardiologue, Jean Léonetti, connu pour son engagement pour les droits des patients en fin de vie, a été nommé à sa présidence. Cette désignation est intervenue, à l’issue d’un vote à l’unanimité des membres du Comité Exécutif de la Fondation, lors de sa première réunion tenue le mercredi 13 avril à Paris.« Je suis très honoré de présider cette fondation des usagers. Je me suis battu pour les droits des patients en fin de vie. Aujourd’hui, cette initiative citoyenne me permet d’élargir cet engagement. Il est nécessaire que les politiques, les responsables d’établissements et les médecins soient encore davantage à l’écoute des associations de patients et des organisations d’usagers. C’est à eux de s’emparer des enjeux sociétaux concernant la santé, en débattre et agir ensemble pour l’améliorer. Il est également nécessaire de rendre les  citoyens et les patients responsables et acteurs de leur propre santé », déclare le député Jean Léonetti.

Le président de la Fondation est entouré d’un collège de personnalités qualifiées et d’associations à l’autorité morale respectée, afin de veiller à la dimension éthique de l’organisation.

Des appels à projets

C’est précisément pour tenter d’améliorer les choses sur ces différents aspects que la Fondation des Usagers du Système de santé lance depuis 2016 des appels à projets en direction d’associations, d’établissements de santé, de structures de soin. Les meilleurs projets en matière de prévention, du droit des patients, d’amélioration de la prise en charge, etc., font l’objet d’une sélection et sont éligibles à des financements de la Fondation.

« Nous espérons à travers ces appels à projets être une force d’action pour permettre, à partir d’initiatives concrètes de terrain, de faire avancer les droits et les devoirs des usagers de notre système de santé », conclut Jean Léonetti.

La Fondation du Crédit Agricole de Lorraine soutient dans les départements de la Moselle, de la Meuse et de la Meurthe-et-Moselle, tout projet d’intérêt général autour des thématiques suivantes :

• l'éducation avec notamment l'accompagnement dans la réussite éducative et la lutte contre le décrochage scolaire et numérique ;
• l'insertion sociale avec l'insertion professionnelle et économique, l'inclusion numérique, la santé et le bien-vieillir ;
• la recherche et l'innovation via le soutien à la recherche médicale et scientifique.

Guidée par les valeurs d’authenticité, de bien-être, d’excellence et d’anticipation du groupe Roquette, la Fondation s’engage en faveur d’une alimentation saine pour notre santé.
Chaque année, elle s’inspire des actions de l’entreprise auprès des communautés locales. Ainsi par le biais des projets soutenus, elle a à cœur de faciliter l’accès à une alimentation saine et durable pour les plus vulnérables, d’améliorer les connaissances sur les liens entre alimentation et santé, et de promouvoir durablement des comportements alimentaires bénéfiques pour la santé.

De 0 à 30 ans, du nourrisson au jeune parent, les habitudes alimentaires évoluent en fonction des besoins, à chaque instant de vie.

Accompagner cette jeune génération dans ces moments de transition permet d’ancrer de bonnes pratiques alimentaires, bénéfiques tout au long de leur vie. Celles-ci pourront être transmises et avoir  un impact intergénérationnel.

Avec des projets soutenus en France, en Inde et au Brésil, la Fondation Roquette souhaite favoriser des modes de vie plus sains et partager les bons comportements en matière d’alimentation grâce aux experts des domaines de l’alimentation, de la nutrition et de la santé qui l’accompagnent.

La fondation soutient, prioritairement en région Occitanie, des projets dans les domaines suivants :

• de la culture, et notamment de l’accès à la culture et de la préservation et promotion du patrimoine ;
• de la solidarité, en faveur de l’égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre l’homophobie ;
• de la préservation de l’environnement ;
• de la santé, notamment la promotion du bien-manger, et la lutte contre la sédentarité et la maladie, pour le bien-être des populations.

« Faute d’un ouvrage de qualité qui soit un premier livre, le jury pourra prendre en considération une œuvre de maturité d’un auteur qui a déjà publié pourvu qu’il réponde à la notion d’amateur telle que l’a conçue Valery Larbaud. »

Toute œuvre littéraire éditée peut être présentée : roman, poésie, essai, théâtre, nouvelle, biographie, livre d’histoire, etc.

Seuls seront soumis au vote du jury les livres (premier livre, ou, à défaut, ouvrage ultérieur) adressés au secrétariat par les éditeurs, qui répondent au but poursuivi et exprimé par le fondateur d’encourager ou de récompenser un écrivain engagé dans une « deuxième vie en littérature ».

Biennal, le prix est doté de 25000€.

Historique

Né en 1903 et décédé en 1979, la vie du Baron Michel Dard fut riche de parcours multiples : le droit, l’enseignement, puis une carrière de fonctionnaire international qui l’emmena autour du monde. A 63 ans, il publie son premier roman, Melusine, et choisit de se consacrer pleinement à cette vocation littéraire qui lui fera produire une œuvre féconde et reconnue par de nombreux prix.

Le grand public le découvre en 1973, quand il obtient le Prix Femina pour son roman Juan Maldonne, un roman d’aventures plein de péripéties dont il écrivit les premières lignes entre 1936 et 1940. A ceux qui s’étonnaient qu’il ait tant attendu pour publier, Michel Dard expliquait : « L’essentiel, c’est d’abord de vivre. J’ai eu une vie fantasque et incohérente, en apparence, mais j’ai besoin de liberté et je ne veux pas être enfermé ».

Naît alors l’idée d’un prix pour les écrivains qui se mettent à écrire sur le tard. Après sa disparition, en 1979, grâce à sa famille et selon ses volontés, par un legs à la Fondation de France, ce projet de prix voit le jour.

D’autre part, Michel Dard a fait don de ses nombreux manuscrits, carnets et écrits à la Bibliothèque Municipale de Vichy. Ceux-ci témoignent d’une grande subtilité d’écriture empreinte de générosité de la part de cet homme qui fut tout au long d’une vie très active, toujours en recherche.

Membres actuels du Prix Michel Dard

Michel Dard ayant été le premier lauréat du Prix Valéry Larbaud en 1967, pour son premier roman intitulé Mélusine, il a souhaité que le prix qui porterait son nom ait le même jury que le Prix Larbaud.

En 2024, présidé par Jean-Marie Laclavetine, le jury était composé de : Paule Constant, Laurence Cossé, Olivier Germain-Thomas, Hédi Kaddour, Marc Kopylov, Paule Moron, Laurence Plazenet, Maud Simonnot, Bertrand Visage.

Ce jury comprend en outre Renaud Laloux, représentant de la famille Michel Dard.

Lauréats du Prix Michel Dard

• 1983 : Louis Calaferte, Ébauche d'un autoportrait, Denoël, 1982.
• 1985 : Jacques Sinclair, Le Voyageur, roman, La Table ronde, 1983.
• 1987 : Georges Navel, Passages, récit, Le Sycomore, 1982.
• 1989 : Yves Gibeau, Mourir idiot, roman, Calmann-Lévy, 1988.
• 1991 : Marcel Cohen, Le grand paon-de-nuit, Gallimard, 1990.
• 1993 : Jean-Pierre Vivet, La maison à travers la grille, roman, Robert Laffont, 1991.
• 1995 : Constance Delaunay, Les éventails de l'impératrice, nouvelles, Gallimard, 1994.
• 1997 : André Balland, La mer oubliée, roman, Grasset, 1995.
• 1999 : Christian Liger, Le roman de Rossel, récit, Robert Laffont, 1998, et Lakis Proguidis, pour la revue littéraire L'Atelier du Roman.
• 2001 : Boualem Sansal, L'Enfant fou de l'arbre creux, roman, Gallimard, 2000.
• 2003 : Éric Hazan, L'Invention de Paris : il n'y a pas de pas perdus, Seuil, 2002.
• 2005 : Jean-Pierre Ohl, Monsieur Dick ou le dixième livre, roman, Gallimard, 2004.
• 2008 : Franz Bartelt, Le Bar des habitudes, nouvelles, Gallimard, 2005.
• 2010 : Soazig Aaron, La Sentinelle tranquille sous la lune, roman, Gallimard, 2010.
• 2012 : Alexandre Romanès, Un peuple de promeneurs, Gallimard, 2011.
• 2014 : Frédéric Verger, Arden, Gallimard, 2013.
• 2016 : Fabrice Guénier, Ann, Gallimard, 2015.
• 2018 : Michel Bernard, Le Bon Cœur, La Table ronde, 2018.
• 2020 : Liz Marzouk, Si, Gallimard, 2018.
• 2024 : Philippe Bordas, Le célibataire absolu, Gallimard, 2022.